L'ÉTRANGE CAUCHEMAR (2)
Et, pour tuer tout espoir,
Vient enfin l’oiseau noir
Le pseudo maestro
Et son orchestre qui joue faux,
Et nous, MINABLES IDIOTS,
Tout imbus de nos impuissances,
NOUS, ON DANSE, NOUS, ON DANSE ...
Sur l’immense champ de ruines
De tous nos rêves qui s’ débinent.